Comment une société de gestion, filiale à l’époque des faits du groupe Natixis, a prêté plus de 2,2 milliards d’euros à un seul acteur privé en difficulté ?
Pourquoi ce qu’il reste de ces sommes est-il bloqué depuis octobre 2020 dans des « Side-Pockets » ?
Pourquoi ces sommes ne seront-elles sans doute jamais remboursées ?